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Merci
Alain

 


 

Les messages laissés par nos visiteurs :



Le 27 Février 2022

Que faites-vous aujourd'hui ? Je remonte la rivière, Monsieur !

En ce dimanche 27 février, dimanche gras, c'est la chanson de Kali qui, une nouvelle fois, nous entraine à remonter le courant...
Le petit groupe - 12 randonneurs et randonneuses seulement ont fait le déplacement - s'était donc donné rendez-vous en haut de la cité Montgérald pour une découverte d'un site sur le territoire foyalais. Eh oui, il est possible de cheminer sous les bois à deux pas d'un temple de la consommation situé à Dillon.
Qui dit Dillon, dit distillerie ! L'itinéraire longe en fait un canal dont ne subsiste aujourd'hui que quelques vestiges, canal qui captait l'eau de la rivière Monsieur pour l'acheminer à la distillerie.
Après une petite demi-heure de marche, nous arrivons au bord de la rivière que nous allons remonter par les berges mais le plus souvent par la rivière qu'il faudra traverser et retraverser, tant les bambous tombés entravent notre progression.
"Tout doux, écartez-vous, dit la rivière
Aux longs bambous penchés sur l'eau,
Ecartez-vous, que la lumière en ses jeux fous,
Change en bijoux, cailloux du fond de l'eau !"
Ce n'est pas de moi hélas, mais c'est ce qui me reste d'un poème de Marie-Madeleine Carbet...
Une bonne heure de marche et nous voilà en contrebas de la cité Voie de Ville : reste à regagner la départementale pour emprunter le trottoir qui nous mènera jusqu'à notre point de départ.
Découverte disais-je au début car, à part Benji et moi-même qui avions effectué une reconnaissance dans la semaine, personne n'avait emprunté cet itinéraire de déviation en cas d'embouteillage à Chateauboeuf ! Et le temps était Clément alors que nous étions à Dillon, la température n'étant jamais montée à 50°, faites-moi confiance !

grifantè
 
Le 14 Février 2022

Cascadeurs et cascadeuses du RCVD...
Rassurez-vous, nous ne sommes pas des acrobates, nous ne doublons aucun acteur ni actrice dans des films d'action !
Nous avons simplement fait le choix d'aller à la source de notre passion, d'avoir l'eau à la bouche, de se remettre dans le bain en évitant la douche écossaise...Quoi de mieux que de partir à a rencontre de nos nombreuses modestes ou imposantes cascades ?
Donc, pour la 3ème fois, après "An ba so", "la rivière du Carbet", nous avions décidé ce dimanche 13 février, de remonter la rivière Couleuvre jusqu'à la cascade.
Enfin, plus que remonter la rivière puisque le petit groupe de 12 participant.e.s est parti de l'anse Céron à pied pour regagner l'entrée de l'itinéraire qui longe la rivière Couleuvre. Bien joué, puisque le parking de l'anse Céron comptait déjà une cinquantaine de véhicules à 8h30 !
Et plus de 80, à notre retour vers midi !!! Ce genre d'endroit attire autant qu'un hypermarché...
Mais revenons à notre groupe qui a pris le temps de contempler les espèces végétales de la forêt (traversée d'une ancienne plantation de cacaoyers, arbres majestueux tels que les zamanas et autres bois-rivière, lianes impressionnantes), bref, comme à chaque fois un plaisir des yeux.
Par contre, petite déception de constater que le site de la cascade était comparable à l'intérieur d'un hypermarché un samedi, mais c'est la rançon de la renommée de nos sentiers de randonnée qui conduit de plus en plus de personnes à les fréquenter et donc accepter de partager ces espaces naturels. Par contre, nous rencontrons de plus de marcheurs et marcheuses du dimanche dont l'équipement laisse à désirer. Randonner aux abords des rivières présente pourtant de nombreux risques qu'il faut prendre en compte (glissades, chutes dues à la présence de boue, de racines, de roches, etc). Donc prudence, vu que les balades en forêt en dehors des clubs de randonnée ont tendance à se multiplier.
Je ne saurai passer sous silence ce que je qualifierai d'exploit, le courage et la détermination de Raymonde et Malou surtout qui a effectué l'intégralité du parcours. Ce qui prouve que "quand on veut, on peut", à condition d'être soutenu, encouragé, aidé au besoin, en un mot être bien encadré, ce que les animateurs du RCVD mettent un point d'honneur à offrir à leurs adhérent.e.s.
Encore une belle journée à notre actif.
A la prochaine !

grifantè
 
Le 31 Janvier 2022

OUPS !!!! J'ai oublié Gérard avec ses conseils et recommandations très avisés et judicieux.....

ELISABETH alias MISS CRAMPE
 
Le 30 Janvier 2022

Eh oui, on l’a fait…. On a pris le bus pour notre randonnée du jour au Carbet… Quelle joie et quel plaisir de se retrouver en bus comme des écoliers à la rentrée scolaire. Et cela a été rendu possible grâce à la complicité de Georges, toujours fidèle au rendez-vous.
En effet, 16 valeureux hommes et femmes ont pris d’assaut, depuis l’ancien Aqualand, la rivière du Carbet en direction de la cascade Toboggan. Bienvenue à Isabelle qui intègre notre sphère aussi.
Slalomant entre la terre ferme et la rivière nous progressons doucement mais sûrement vers ce magnifique endroit.
Au gré de notre progression, les jambes mouillées jusqu’aux genoux quelquefois, nous découvrons la pierre volcanique sculptée comme le ferait un tailleur de pierres…. Autre bel effet d’optique, un dauphin sort sa tête de l’eau pour nous faire un clin d’oeil…. Epoustouflant….. Notre imagination est débordante….
Encore une autre découverte : le manguier hors d’eau ou hors sol…. A vous de choisir selon votre réflexion….
Un joli cacaoyer nous présente ses fruits majestueux…
Dernier petit passage délicat, franchisssement du bassin le plus profond avec de l’eau jusqu’au thorax pour éviter de grimper sur les pierres. C’est la belle démonstration que nous a faite Louis en traversant à pied et avec son bâton ce petit bassin assez profond.
Ouf, après moins de 2 heures, elle s’offre à nos yeux, magnifique cascade avec ses 2 jets croisés…
Georges retrouve son âme d’enfant, heureux comme une écrevisse dans l’eau…. Sauts, toboggan, il s’en donne à cœur joie…. Elisabeth n’est pas en reste. Nous trouvons tous notre compte baigneurs et non baigneurs….
4 d’entre nous s’engagent à faire grimpette au dessus de la cascade par curiosité et sans trop s’éloigner…. Que des bassins… et la rivière tranquille.
Le bain terminé, il faut songer au retour un peu plus rapide…
Nous avons hâte de savourer le délicieux repas que nous a concocté Félix nos cuistot émérite.
Sortie terminée, retour au bercail au 14 heures 30.
Encore une belle journée… Mi bel jounen…. An joli jounen……
Mission accomplie. Merci à tous les accompagnateurs Henri, Benji, Romain, Félix, Alain qui m’ont bien assisté dans ma mission.
A bientôt !!!

ELISABETH alias MISS CRAMPE
 
Le 17 Janvier 2022

Tout neuf...anba so !

Petit rectificatif : nous étions tous, neuf au compteur de l'effectif des participant.e.s...
La saison redémarre, comme l'indiquait Elisabeth, avec du retard et en petit groupe d'initié.e.s.
Dimanche 16 janvier, nous n'étions donc que quelques membres du CA et de l'équipe de reconnaissance auxquels se sont joint Simone et Mary-Anne pour remonter la rivière de Fond Lahaye depuis le bord de mer jusqu'aux fameuses cascades du site "Anba So". Une remontée qui s'effectue principalement sur une route bétonnée avec une première traversée de la rivière avant de rejoindre - seconde traversée de la rivière- l'entrée du sentier menant sous les bois aux deux cascades. Une balade dans une forêt bordant la rivière, forêt aux multiples essences parmi lesquelles nous remarquerons l'angelin, le bois kabrit bâtard, le mahot piment - Romain nous fera la démonstration de la solidité de ses tiges fines servant "an ta lontan pou maré sé kochon an" -, le chou piquant, le bois d'Inde, le pois doux blanc, etc. Balade très instructive donc sans oublier les veines d'argile qui tapissent le sentier en certains endroits.
Partis de Fort-de-France sous la pluie, la redescente s'est effectuée sous un magnifique soleil, comme quoi la météo de notre charmant pays est extrêmement changeante...
Tout neuf et tout content en espérant nous voir plus nombreux lors de la prochaine sortie à la rivière du Carbet le 30 janvier.
Qu'on se le dise !

grifantè
 
Le 17 Janvier 2022

Hello les amis !!! J’espère que vous allez bien….
Vendredi 14 janvier 2022, c’était l’ouverture de la saison randonnée 2022 pour moi. Et cela a commencé très fort…. Sortie GRAND BE SAINT PIERRE….. en compagnie de Gérard. Départ du Quartier Pérrinelle.
Et je peux l’affirmer : c’était LA RANDONNEE !!!! 4,6 kms de montée non stop…. J’avoue que j’en ai bavé. Le cardio avait du mal à suivre après tous ces mois d’interruption.
Et Gérard qui m’encourage : « Benji l’a fait et si Benji l’a fait, tu peux le faire…. » .
Courage Elisabeth, je m’imprègne de ce slogan « Benji l’a fait. Aucune raison que je ne réussisse pas… ». Et je m’accroche sous le soleil et à grimper, grimper et encore grimper…...
Mais quel plaisir : des vues sur la baie de Saint Pierre époustouflantes, la montagne Pelée majestueuse, des odeurs de cultures vivrières. Ces clichés se méritent. Et malgré la fatigue et les jambes en compote, je suis ravie du spectacle à ciel ouvert. J’espère bien faire des envieux et des volontaires pour la prochaine fois….
Enfin au sommet après 2 heures 10 minutes… 1ère partie réalisée. Rafraichissement à l’eau de pluie. Belle visite de la ferme permaculture et excellentes explications du prof Gérard sur ce mode de culture.
Après une bonne heure de pause, il faut déjà songer à repartir.
Et là, Gérard me propose un autre itinéraire : la descente à travers des servitudes avec de l’herbe jusqu’au cou par moment. On ne voit que ma tête quelquefois, ou plutôt on la devine grâce à ma casquette….
Et moi qui pensait que la descente serait plus facile… Et non, je me suis bigrement trompée. Tout aussi compliqué dans la technique.
J’avance à petits pas en tâtant le sol avec mon bâton de Glisérya ou Gliciridia, taillé à l’aller par Gérard. Bâton aussi précieux en ce moment qu’à l’aller pour éviter les trous et les chutes….
Je marche même quelquefois de travers en mode canard….hahaha..
Et toujours ces vues époustouflantes… Quel délice !!!!
Après 2 heures de descente et 9 kms dans les pattes : la délivrance : arrivée au point de départ. Soulagée, heureuse et fière de l’avoir fait.
Rien ne vaut une telle randonnée pour démarrer la saison sur les chapeaux de roue ou des jambes….
Deuxième élue, Benji et moi attendons les prochains. Vraiment à faire….. Merci à Gérard et à ses amis Fabien et Danielle pour cette ferme permaculture. La ferme vaut vraiment le dérour.
YES WE CAN !!!!
A bientôt… Sportez vous bien et Prenez soin de vous…

ELISABETH alias Miss crampes
 
Le 12 Novembre 2021

RCVD : le retour de femmes...et d'hommes ?

Inutile de continuer à disserter sur cette pandémie et les contraintes sanitaires qui mettent à mal l'activité des clubs...L'heure n'est pas aux lamentations mais aux lueurs d'espoir.
Le RCVD, qui devait organiser la traditionnelle rencontre Interclubs à Saint-Joseph en 2020 - rendez-vous incontournable depuis plusieurs années chaque 11 nov. à l'initiative de l'ASCLR-, a décidé de prendre le bèf par les cornes : l'édition 2021 aura bel et bien lieu ! Une édition qui ne sera sans doute pas comparable à celle de 2016 qui avait vu la participation des clubs concernés rassemblant une centaine de randonneurs et randonneuses sur le territoire joséphin !
Les inconditionnels, à savoir Ti Chimen du Lorrain, Les Mornes Denisiens de Fonds Saint-Denis et l'ASCLR du Robert se sont donc joints au RCVD le jeudi 11 nov. 2021 pour partager un bout de chemin. Si nous n'étions que 36 - tous les clubs de randonnée ayant de grandes difficultés à remobiliser leurs adhérent.e.s -, le parcours suivi semble avoir satisfait le groupe de marcheurs...
Parti du CASE de Bois du Parc, après une pluie qui n'avait rien d'engageant - mais le RCVD a le bras long auprès des services de Météo-Martinique -, le groupe solidement encadré par des animateurs des clubs présents s'est engagé en direction du circuit de Rabuchon par la montée du chemin Quiquine, puis a quitté la ligne de crête pour emprunter la longue descente de la route forestière traversant la plantation horticole de l'habitation Le Chalet. C'est ce moment là qu'avaient choisi les nuages pour déverser leur flot de gouttes H2O pour rincer les marcheurs. Nouvelle réclamation auprès de Météo-Martinique permettant au groupe de rejoindre le CASE de Bois du Parc sous un soleil éclatant.
Nos photographes de choc - Elisabeth, Romain et Marie-Pierre- n'ont pas manqué d'immortaliser ce moment intense de retrouvailles ! L'échange oral a bien eu lieu mais le partage de nourriture et boissons - chaque club apportant de quoi se restaurer ensemble - n'a pu avoir lieu et je vous laisse en deviner la raison. Le protocole sanitaire a été observé dans son ensemble, mais les dirigeants de clubs reconnaissent la difficulté de concilier contraintes sanitaires et convivialité indispensable à ce type d'activité.
En tous cas, un grand merci à Albert, Guillaume, Gabriel, Manu, Félix, Fernand et tous et toutes les autres qui ont fait leur possible pour que ces Interclubs ne tombent pas dans l'oubli ! Sans oublier la présence de Christian, directeur du Service des Sports de la ville, venu en reconnaissance de la manifestation prévue le dimanche 21 novembre. Le "tout public" doit s'attendre à un niveau 2 de difficulté, tout le monde n'étant pas pratiquant régulier !
Le rendez-vous 2022 est d'ores et déjà pris au Lorrain et nul doute que les Interclubs retrouveront leur" faste d'antan".

grifante
 
Le 27 Juillet 2021

Christophines ou cristaux fins ?

Des champs de christophines à perte de vue sur les flancs de la montagne Pelée !
C'est ce panorama qu'offre la trace de Trianon permettant en partant du parking des Gorges de la Falaise - fermées en cette période de saison pluvieuse - de rejoindre la route qui monte à l'Aileron en serpentant.
Seize indestructibles randonneurs et randonneuses avaient pris le départ vers 8h30 pour une balade d'environ 2h avec une arrivée au parc du Millénium du Morne-Rouge.
Si vous consultez les photos mises en ligne par notre ami Alain - parti faire un tour à Tours -, vous constaterez que Benji nous a mis en retard, l'état du car qui l'attendait confirmant ce que je dis.
Ne parlons pas de l'accointance du RCVD avec les services de la météo, favorisant une fois de plus une balade sous un ciel voilé, parsemé de belles éclaircies nous faisant découvrir les contreforts majestueux de cette grande dame qu'est la Pelée.
En traversant l'exploitation de christophines, le groupe s'est arrêté chez M. Pago où se tenait un rassemblement de chasseurs. Nous n'avons pas pris un coup de feu, ni même un feu, mais nous avons été invités à partager la collation (ah, le lait de coco, le chocolat chaud...) et à profiter de la vue splendide sur la côte atlantique malgré la brume de sable s'étendant au loin.
Arrivés sur la route de l'Aileron, il ne nous restait plus qu'à descendre en respectant scrupuleusement les consignes de sécurité concernant le déplacement sur la route.
Il était temps de passer à table - la table d'opération "tété dwet" - pour partager le repas préparé par notre ami Félix qui, encore une fois, s'était surpassé pour contenter le groupe.
Il aurait bien l'intention d'ouvrir un restaurant, mais avec ces histoires d'obligation de pass sanitaire, il craint sans doute la faillite...Qu'il se rassure, au RCVD, il y a encore des bouches à nourrir !!!
On se retrouve bientôt pour de prochaines aventures...

grifantè
 
Le 13 Juillet 2021

Le col est fini (c'est là)

Eh oui, en juillet, le col est fini ! Je veux parler du col Yang Ting que nous avons franchi à pied, à la différence des coureurs du Tour de France qui préfèrent la petite reine...
Et pourtant, c'était pas gagné vu le temps exécrable (brouillard, pluie du côté de Colson) qui ne nous a pourtant pas découragés, confiants dans la bonne étoile qui a toujours guidé le RCVD.
Bien nous en a pris puisque à notre arrivée au quartier Trou Vent à Fonds Saint Denis, la météo avait sorti son programme douceur et le groupe de 15 randonneurs et randonneurs se lançait en direction de ce fameux col culminant à 506m. Après un majestueux four à charbon sur notre droite, nous traversons la rivière Mahault au faible débit et suivons le sentier qui monte de façon régulière dans la forêt départementale Saint James, malgré deux éboulis qui ne constituent pas des obstacles infranchissables.
Le groupe arrive enfin au col, lieu de passage d'un vent qui rafraichit fortement. Le temps d'une courte pause, et le groupe emprunte la descente vers le quartier Champflore. La météo nous fait le cadeau d'illuminer de temps à autre le sentier d'un soleil timide mais bien présent. Seule une légère pluie viendra contrecarrer cette initiative, alors que nous approchons du but.
Un passage délicat permet au groupe de vivre une "séquence émotion" avec une chute spectaculaire mais sans gravité, le sol étant particulièrement accueillant à cet endroit. C'est le métier qui rentre...
Enfin, nous longeons le grillage d'une structure aujourd'hui désaffectée et qui a accueilli dans les années 90, l'Institut pour Déficients Auditifs. Il ne nous reste plus qu'à regagner le parking de la SOMES (Eau de Chanflor) pour clore cette belle balade, une découverte pour 9 personnes du groupe.
A noter que l'équipe d'encadrement s'était déjà rendu sur cet itinéraire deux jours auparavant pour constater l'état de l'itinéraire suite aux pluies et à la tempête des semaines précédentes, reconnaissance qui a permis de procéder à quelques opérations de nettoyage et de sécurisation. Au RCVD, le maitre mot reste la sécurité de nos participant.e.s !

grifantè
 
Le 28 Juin 2021

Quatre nonnes et 2 moines (Oh !) sur la trace des Jésuites...

Merci à Benji pour m'avoir soufflé ce titre même s'il peut prêter à confusion !
Qu'on ne se méprenne pas : le RCVD n'a pas mis en place une BRED (Brigade de Recherches d'Ecclésiastiques Disparus), non, nous étions seulement 6 randonneurs et randonneuses qui ne s'étaient pas fait prier pour emprunter ce sentier d'une extrême beauté. La forêt tropicale humide vous plonge instantanément dans un monde merveilleux. Et heureusement - et c'est là que la magie du RCVD opère -, l'onde tropicale de vendredi n'avait laissé que très peu de stigmates, hormis quelques branchages cassés ici et là, quelques passages boueux vite contournés.
Parmi nous, deux nonnes se faisaient un réel plaisir de découvrir pour la première fois cet itinéraire qui nous conduisait à la rivière du Lorrain en contrebas. Une occasion de côtoyer les majestueux bois-rivières se disputant la palme de la hauteur avec les châtaigniers grandes feuilles ou encore les gommiers blancs reconnaissables à la résine blanche s'écoulant le long de leurs troncs. Sans parler des bois côtes au profil énigmatique et des pétales de magnolias glanées ici et là. Servaise nous livrera la recette d'une préparation à l'huile de coco pour ne pas perdre cette senteur propre au magnolia...
Nous voici enfin arrivés à la rivière - où nous croisons un groupe de 7 personnes qui entament la remontée -, une rivière qui après s'être emportée lors de l'onde tropicale, a retrouvé un cours plus serein, nous invitant à la baignade dans un magnifique bassin quelques mètres en aval du pont suspendu. Et là c'est le bonheur : bain de boue (d'argile blanche), bain couché dans le courant, ben dis donc ! Nous sommes resté une bonne heure à profiter des joies de l'eau d'un joyau...
Il faut penser à remonter, non pas le courant en courant, mais le sentier en marchant !
Et plus nous progressons, plus nous croisons de couples d'un certain âge, de petits groupes jusqu'à un groupe d'une dizaine de jeunes qui semble sortir d'un vidé de carnaval. Nous leur demandons - en prenant des gants (de boxe ? surtout pas) de respecter le calme des lieux. Ces jeunes qui descendent avec un seul petit sac à dos pour une dizaine, en demandant naïvement "C'est encore loin ?" ignorent sans aucune doute - malgré le panneau posé à proximité de la Croix Dubuc - que nous entrons dans une Réserve Biologique Naturelle, un site donc hautement protégé. Un peu plus tard, nous croisons un autre groupe de 6 jeunes qui descendant au son - non pas du clairon - de la musique sortant d'un smartphone à fond...Une fois encore, il faut leur rappeler - avec les mêmes gants - des règles de respect de ce lieu en espérant être entendu dès que nous aurons tourné les talons (d'argile).
Preuve s'il en est également, que la randonnée ne s'improvise pas et qu'un rappel de la Charte du Randonneur pourrait être diffusé régulièrement sur les réseaux sociaux que notre jeunesse vénère. On ne naît pas randonneur, on le devient !
Nous aurons ainsi croisé plus d'une trentaine de personnes, autant dire que nous sommes remonté avant le rush. Le flair paie !
Sinon, et pour conclure, les absent.e.s ont toujours tort et le tort tue !
Encore un grand merci à Benji qui a attrapé le virus de l'écriture - ne te vaccine pas contre celui-là, Benji ! - nous permettant de connaitre le film de ses aventures.
Sans oublier, une double collation pour Servaise lors de notre prochain rendez-vous...

grifantè
 
Le 28 Juin 2021

Encore moi l’effort continu les visites aussi .
Oui aujourd’hui à six randonneurs, nous avons suivit la trace des jésuites. certes à six je les titrés 4 NONES ET DEUX MOINES
Pour une belle marche appréciable
Traversée tranquille regard détaillé sur la forêt environnante, et profiter d’un bain de rivière agréable avec ses contours très colorés et magiques souligner par un massage d’argiles (les photos mêmes aériennes trouvé sur place et qu’on remercie énormément)
Merci encore à ce couple visiteur et sportif.
Un retour au parking assez rapide par un temps merveilleux ensoleillée un petit peu inquiétante la veille
LOI : DE LA NATURE OBLIGE

Benji
 
Le 22 Juin 2021

Salut les ami (ies)
Mes aventures continuent
Jai répondu à l’invitation de Gerard pour l’accompagner a son jardin partagé à SAINT PIERRE direction :
(GRAN BÉ )
J’ai envoyé des images sinon hein départ huit heures trente départ direction gran bé s’il vous plaît que je précise on monte au jardin
Trace trace des manguiers sur le bord nous en ramassons quelque uns pour déguster là-haut, banane pendant UNE DEMIE HEURE. Canne dachine. Patates encore UNE DEMIE HEURE on continu sentier sentier spécial 4|4 pour ne pas répéter on monte en se retournant pour se reposer de temps en temps St pierre disparaît derrière nous autre DEMIE HEURE reste la dernière demi heure Sentier ventilé découverte de hangars de plantations d’autres agriculteurs et arrivés messieurs dames arrivés au JARDIN 10heurs 30 soit 2 heures de temps le chien kako nous reçois très content sa queue nous le dit
merveille l’endroit très ventilé ,aujourd’hui beaucoup de nuages qui cache le soleil pas de pluie. Super
Beaucoup d’outils de travail normal, bordé de bambou et autres arbres on dépose nos sac sur une. Table prévu pour cela
Un dernier repos et je propose le service. J’ai pu rester buste nu tête nu le cadre s’y apprêtait grâce à la ventilation Jusqu’à 13 heures 30 environs nous avons sarcler : céleri - citronnelle - bordures etc toujours en forme soit pas pas de mal !!!
Déjeuner Repos jusqu’à 15 heures Dernier coup d’œil sur la mer en créole. En ba la en prise photos vidéo prise de vue
Soit prévu une heure 30 pour arriver à la voiture
Mon dieu Chemin faisant la descente glissante à certain endroit sur la pierre ponce je vous dit pas , survient la fatigue supportable
Sur les premières demi heure fatigue , faiblesse ,tremblade. Peine à avancer Toutes camionnettes ja bay en ba
Pour terminé en une heure quarante
Bain de mer au trou carbet le RAISINIER soulagement puis une bonne glace 3 boules d’lo coco maracudja abricot pays au bourg chez ZOUKIA GLACES puis rentré Bo kaze
Bel souvenir quant même , encore une première fois
Merci Gera Merci Rcvd , je vous accompagnent a la prochaine si vous voulez :c’est prévu pour moi la descente en 4x4 ouais

Vive gran bè

Benji
 
Le 22 Juin 2021

Bonjour
Le 10 juin j’ai fait la reconnaissance du MORNE CÉSAIRE avec Henri et FELIX
C’est la premiere fois que je le faisais. Marche tranquille sentier assez étroit jonché de feuilles morte accidentel je précise mais bien tracé
Suivant une crête bordée de divers arbres dont les premiers mètres de beaux mahogany qui n’existaient plus en avançant vers le haut comme ci ils avaient choisit leur place pour la coupe avant transformation pour nos meuble d’interieur
Arrivé au sommet quel émerveillement le regard sur la forêt délimitant le cadre de la ville de fort de France et le hauteur de SCHOELCHER
Inconvéniant de la brume de sable qui commençait à tiré le rideau ma permis quelque prise de photos
Ce n’est pas un si haut sommet n’y le plus haut sommet avec un arrêt naturel exigüe et laid mais qui permet de découvrir un beau site merveilleux Merci Rcvd. J’ai parcours la nature avec joie

Jean-Baptiste
 
Le 16 Juin 2021

Morne Césaire, vous Aimé ?

Dimanche 13/06, ils n'étaient plus que onze mais pas Bleus, les valeureux et valeureuses du RCVD à s'élancer sur les traces de Césaire Morne culminant à 600m d'altitude.
Pas de pluie durant la balade, mais le ciel pleureur avait néanmoins laissé quelques larmes pendant la nuit...Un peu de boue mais tous debout ! Enfin à quelques exceptions près que nous ne nommerons pas.
L'itinéraire entièrement à l'ombre des grands arbres de la forêt hygrophile offre de magnifiques surprises comme ces lichens pendant nonchalamment aux branches, les ananas-bois en fleur, et de splendides points de vue sur la baie de Fort-de-France. Encore faut-il arriver au bout du sentier alors qu'il se fait de plus en plus étroit et dangereux. Donc prudence, mais cela mérite le panorama qui s'étale sous nos yeux !
On se donne rendez-vous au prochain épisode. En attendant, profitez des photos d'Elisabeth et de Josiane...

grifantè
 
Le 10 Juin 2021

Hello les amis,
Dimanche 06 juin, 3e dimanche de participation du club au défi des associations de la commune de Saint Joseph.
Plus d'une centaine de participants parmi lesquels on comptait environ une dizaine de membres du RCVD, étaient bien décidés à braver la pluie invitée malgré nous à la fête.
Qu'à cela ne tienne, pas l'ombre d'un rayon de soleil, mais nous voila partis pour une randonnée découverte de 10 kms environ au départ du stade du quartier presqu'île Saint Joseph pour une boucle en passant sur une partie du territoire du Gros Morne et celui du Lamentin.
Comme d'habitude le RCVD n'est pas en reste. Puisqu'au nombre d'accompagnateurs, nous sommes 4 (Elisabeth, Tonton Félix, Emmanuel et Cressan) à prendre en main (et non par la main ...) chacun un groupe de 20 personnes.
Nous abordons les traces des bananeraies de l'habitation Simonette ; quelques flaques d'eau mais peu de boue...
Sous une bonne et grosse averse, nous déambulons dans plusieurs quartiers limitrophes des communes de Saint Joseph et du Gros Morne parsemés de quelques petits gués.
Enfin les quartiers Glotin et Saint Maurice du Gros Morne. Consignes données ... Au pas de course et en file indienne, nous longeons la RD3 sur 300 mètres.
De l'eau jusqu'à mi jambes, nous traversons le gué de Saint Maurice bien plus important que la veille...
Encore un gros effort, le morne est plutôt raide....Belle montée, encore sous une averse et nous revoilà dans la ligne droite qui nous ramène au stade.
Mission accomplie pour le RCVD. Un malaise d'une randonneuse pris en charge en partie par Elisabeth.
Tous arrivés à bon port après environ 2 heures 30, pas de collation, pas de rassemblement, pas de grand discours... Covid oblige. Et des remerciements de l'équipe sportive de la Mairie.
Pas grave, nous repartons tous satisfaits d'avoir effectué notre sport dominical et surtout ravis de n'avoir pas subi la chaleur de ces derniers jours....
Résultat de ce défi des associations dans les prochains jours.... Les adversaires étaient coriaces... Sur ce dernier jour, j'ai constaté qu'ils avaient mobilisé beaucoup de leur membres..... HOULALA....
Mais attendons le résultat et notre classement... Soyons fairplay.... l'essentiel était d'abord de participer.....

Elisabeth alias Miss Crampe

ELISABETH ALIAS MISS CRAMPE
 
Le 7 Juin 2021

A ne pas confondre l'Adonis et La Donis !

Pour les 12 randonneurs et randonneuses du RCVD qui avaient pris le départ d'Absalon pour arriver à l'espace aménagé de La Donis ce dimanche 30 mai, pas de confusion possible : La Donis, endroit agréable et accueillant géré par l'ONF et l'Adonis, ce dieu phénicien de la végétation qui a donné son nom par extension à un jeune homme d'une beauté remarquable - vous savez de qui je veux parler -.
Bref... Le groupe est parti de l'entrée de la boucle d'Absalon conduisant au plateau Michel. La montée est certes moins difficile que l'entrée conduisant au morne Pé Bouche, mais plus longue. Enfin au bout d'une bonne heure de bonheur après avoir côtoyé les gommiers blancs suintant, les magnolias, les châtaigners, les bois rivière et autres essences de la forêt hygrophile, nous parvenions à la croisée des chemins !
A droite la descente en direction de Dumauzé pour parvenir à la route forestière de Fond Baron. Et là les choses se corsent : le sentier est boueux mais surtout commence par un passage difficile. Déposez les bâtons, place aux accompagnateurs qui se font un plaisir de donner la main, de servir de bouclier face à une éventuelle chute...Du grand art !
Arrivés au bout de la route forestière par une sorte de clairière - un coup d'oeil au bambou qui déverse l'eau d'une source - la suite n'offre plus aucune difficulté.
Arrêt au gué de la rivière Dumauzé pour se rafraichir les idées - on s'est compris -, quelques photos et nous entamons le dernier tronçon qui nous transporte à l'entrée de la route forestière sur la route nationale.
Encore un petit effort, et nous voilà à La Donis où nous profitons d'un moment de détente et d'échange avant de regagner Fort-de-France.
Encore une belle balade par un temps superbe !
Alors, on dit Merci qui ?

grifantè
 
Le 19 Mai 2021

Les 12 apôtres...de la randonnée !

Effectivement, ils n'étaient que 12 ce dimanche 16 mai à reprendre le chemin non pas de l'école - l'âge des gamineries étant largement dépassé -, mais celui des forêts et des rivières...
Cap sur le Camp de Balata - bel bwa - pour emprunter la trace descendant jusqu'à Fontaine Didier, haut lieu de production de l'eau à bulles.
Temps sec donc sentier correct bien que présentant quelques passages délicats - certains mauvais temps ayant laissé leurs traces -, mais au bout d'une heure, le groupe parvient à boucler le premier tronçon.
Après une petite halte au niveau de la captation sur la rivière Dumauzé, le groupe se remet en marche pour remonter en direction de l'ex-station thermale d'Absalon, qui croupit depuis nanni-nannan en attendant sa cure de jouvence...
Le sentier longe et surplombe la rivière et sa succession de mini-chutes, de bassins à l'eau limpide. Malgré la sécheresse qui semble s'installer, la forêt tropicale coule en nous remplissant d'espoir...
Nous voici enfin arrivés au parking d'Absalon digne d'une copie de celui d'un hypermarché - toutes proportions gardées. Il est vrai que ce dimanche ensoleillé a eu le don d'extirper les gens de leur confinement habituel.
La majorité d'entre nous regagneront la route de la Trace toujours à pied, tandis que 3 chauffeurs monteront sur leurs grands chevaux (vapeur) pour récupérer ce beau monde en haut de la côte et les transporter au Camp de Balata. Cheminer en bordure de nationale sinueuse un dimanche matin s'apparente effectivement à un exercice périlleux. Les Apôtres de la randonnée éviteront donc de tenter le diable.
Reste ce petit moment de détente autour d'une collation sur lequel nous ne nous appesantirons pas.
Mieux vaut évoquer l'histoire de ce fameux camp et de la mutinerie du commandant Tourtet en juin 1943, époque pendant laquelle nous ne pensions nullement devenir un jour de fidèles randonneurs et randonneuses au sein du RCVD !

Grifantè
 
Le 30 Mars 2021

Chemin de...Quoi ? Interdit ?
Eh oui, interdit de gravir l'ilet de Sainte-Marie pour parvenir à la croix qui surplombe l'océan agité par de gigantesques vagues écumantes...Fermé pour cause de travaux (réfection des marches de l'escalier qui mène au sommet culminant à 39m).
Ceci n'a pourtant pas empêché le groupe de 23 randonneurs et randonneuses du club ( répartis en groupes de 6) de rejoindre l'ilet, d'autant plus que la période est favorable pour s'y rendre à pied presque sec.
Le tombolo, curiosité de la commune, nous ouvre ses vagues déferlantes comme par magie (je ne parle pas d'Elisabeth qui conduisait un groupe de 5 personnes). Lieu chargé d'histoire industrielle - le temps de l'exploitation sucrière y a laissé des traces rouillées mais bien présentes,-, d'histoire humaine avec ce drame de la noyade qui restera dans les mémoires, lieu chargé d'empreintes géologiques sculptées par les alizés et les embruns, lieu de reproduction des sternes de Dougall qui justifie l'interdiction de l'accès à une partie de l'ilet pendant l'hivernage. Lieu d'énigmes qui sollicitent la perspicacité des visiteurs - savez-vous ce que l'on jette quand on en a besoin et que l'on reprend quand on n'en a plus besoin ? -, lieu d'une grande beauté qui incite à immortaliser sa splendeur.
Les yeux encore pleins de merveilles, il était tout naturel de se rendre après une balade dans les ruelles du bourg - étonnant passage de l'Espace du photographe -, au musée du rhum via la place Clarissa Jean-Philippe. L'eau de mer s'est évaporée aussi sec devant les saveurs de la canne fermentée. Mais pas d'excès, juste de quoi ramener un petit souvenir liquide à la maison.
La suite de la journée nous conduisit par les campagnes du quartier Plaisance à Fonds Saint-Jacques - halte à la forêt La Philippe au cadre enchanteur - jusqu'à l'ultime étape : le restaurant "Le Point de vue" pour un repas "tété dwèt". Côté ambiance, c'était pas mal non plus, le club a mis son grain de sucre...J'allais dire son pain de sucre pour faire couleur locale...
A 17h, nous arrivions sains et saufs à notre port d'attache, Saint-Joseph !

Grifantè
 
Le 23 Mars 2021

Foyal : Opération coeur ouvert...

Fort-de-France, une ville que chacun.e d'entre nous fréquente sinon quotidiennement, disons régulièrement depuis longtemps. Une ville que nous croyons connaitre...et pourtant.
D'autant plus qu'au lieu d'accumuler les rides au fil des décennies, Foyal est plutôt sujette aux liftings à tel point qu'on en oublie son vrai visage.
C'est ce constat qui a poussé le RCVD à proposer "une visite commentée" de Foyal en suivant un itinéraire reliant les principales curiosités du patrimoine urbain.
Respect du protocole sanitaire applicable aux clubs de randonnées, l'organisation avait prévu 4 groupes de 5 personnes, chacun conduit par un animateur. Et pour ne pas se marcher sur les pieds, 2 groupes respectant une bonne distanciation se suivirent du départ vers l'arrivée, tandis que 2 autres empruntaient le chemin inverse. On allait donc sans doute se croiser quelque part...
La boucle partant du parking de la Française, longue de 5 kilomètres, permit aux participant.e.s de (re)découvrir des sites, des monuments, des noms, tous chargés d'histoire. De souvenirs également puisqu'il avait été demandé d'évoquer des moments de son enfance, de sa jeunesse, à une époque où, "descendre en ville" représentait encore un évènement personnel...
Les participant.e.s ont également été associé.e.s à l'organisation en lisant au groupe les informations écrites sur la "feuille de route". Bord de mer, canal Levassor, Parc A. Césaire, Terres Sainville, La Levée, le centre-ville, la Savane livrèrent leurs secrets à la suite de trente haltes savamment choisies.
Connait-on bien le coeur de Foyal qui bat au rythme du tambour bèlè ? Bien, non, mais mieux !
La preuve, qui se souvient encore de la petite librairie "Le Boul'Mich", une librairie dans la plus pure tradition des bouquinistes et qui se trouvait...C'est vrai ça, c'était où déjà ?
Contentons-nous donc de mieux situer les Glacières - une époque où les congélateurs n'envahissaient pas les foyers - qui permettaient aux Foyalais.e.s de se rafraichir...la mémoire !
A bientôt sous d'autres cieux...
Grifantè

Grifantè
 
Le 4 Mars 2021

Le RCVD fait le gué...
Une nouvelle fois, le dimanche 28 février, le RCVD a mis les pieds dans l'eau - ce qui est mieux que de les mettre dans le plat - à l'invitation de la DSCVA (Direction des Sports et de la Vie Associative) de la ville de Saint-Joseph. Plus qu'invité, partenaire, puisque l'équipe d'encadrement (Romain, Félix, Cressan, Alain et moi-même) a été mobilisée pour assurer la bonne marche des opérations.
Accueillir et accompagner plus d'une centaine de personnes sur 8 kilomètres n'est pas une mince affaire surtout lorsqu'une partie du parcours emprunte une route départementale...Un itinéraire qui partait du stade Murano vers Lourdes puis La Durand en descendant en direction de la station Odyssi de traitement des eaux de la rivière Blanche, avec un premier passage de gué - ou de force - puis l'enchainement des gués successifs jusqu'au Chemin de Fond Perez. Attention ça monte jusqu'à la route pour redescendre ensuite en traversant le Domaine de Rivière Blanche où l'on rejoint la Route des Gués.
Ouf... euh non pas ouf puisqu'il faut maintenant regagner la station d'Odyssi et...Fout monn la red ! Courage...le cortège s'était déjà bien effiloché, cette fois c'est du goutte-à-goutte !
Beaucoup de marcheurs et marcheuses ont découvert un itinéraire pas banal et pourront ainsi y revenir en surveillant la météo, car si la Rivière Blanche nous a reçu sans hausser le ton, il arrive qu'elle gronde et que le niveau monte...
Belle balade avec le concours des secouristes de la Protection Civile et la Police Municipale. Il s'agissait de la seconde randonnée du Défi des Associations - qui en compte trois -, opération à laquelle 18 membres du RCVD ont participé.
Certains restent zens, nous restons "gués".
An lot soley !

grifantè
 







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